SPIE au service de la transition industrielle

L'industrie est un moteur du développement et de l’emploi ; elle est aussi à l’origine d’une part importante des émissions de gaz à effet de serre. En France, l’industrie représente 18 % des émissions de gaz à effet de serre, soit le troisième secteur le plus émetteur derrière les transports (31 %) et l’agriculture (19 %)*. Mieux produire avec moins de ressources est un défi collectif et appelle une transformation industrielle profonde. SPIE France déploie des solutions sur l’ensemble du territoire pour des usines performantes, fiables et responsables.

À l’heure de la relance verte et de la relocalisation des activités industrielles françaises, comment réduire l’impact environnemental de la production tout en améliorant la chaîne de valeur globale ?

Pour répondre aux enjeux des industriels, SPIE France et ses six filiales s’appuient sur des compétences pointues autour de trois expertises clés : l’industrie 4.0 ; la décarbonation industrielle ; la sécurisation et la fiabilisation des installations industrielles.

Pour une réindustrialisation vertueuse

Alors que la France accélère sa réindustrialisation, le secteur est en profonde transformation et fait face à des enjeux multiples.  

À l’origine d’une part importante des gaz à effet de serre européennes, les acteurs industriels doivent optimiser leur utilisation des ressources et de l’énergie, s’engager dans l’économie circulaire, décarboner la production. Dans un même temps, ils doivent gérer l’augmentation de la demande et saisir les opportunités liées aux innovations numériques, tout en assurant la sécurité et la sûreté de leurs installations.

Les chiffres clés aujourd’hui :

20 %

c’est la part que représente l’industrie dans les émissions de gaz à effet de serre en France (Source : Ministère de l’économie)

55 %

c’est le pourcentage de réduction des émissions industrielles visé pour 2030 d’après la mise à jour de la stratégie nationale bas carbone (Source: KPMG, Baromètre de la transformation industrielle 2023)

4

technologies de rupture identifiées dans le plan France 2030 : hydrogène, biomasse, électrification des procédures, capture et stockage du carbone

Pour répondre aux enjeux de la transition numérique, de durabilité et d’innovation, il faut faire émerger une industrie 4.0. Concrètement, cela passe par des installations digitalisées, la numérisation et l’interconnexion du système de production, la robotisation industrielle, les automatisations, etc. 

Les expertises liées à la décarbonation (captage de CO2, solutions d’autoconsommation issues des énergies renouvelables, valorisation, etc.) seront aussi cruciales pour accompagner la réindustrialisation vertueuse de la France.  

Enfin, la transition industrielle doit s’accompagner de pratiques d’excellence en matière de sécurité et de sûreté des installations (sécurité des bâtiments et infrastructures industriels, sécurisation des procédés industriels, services électriques, maintenance multi-technique, etc.).

Ainsi, demain :

334,18 Mds$

c’est la taille que devrait représenter le marché de l’industrie 4.0 en 2028 - 94,42 Mds$ en 2023 (Source : Facts & Factors, rapport de recherche « Global Industry 4.0 Market »)

4 à 8,5

MT CO₂ par an : c’est l’estimation du potentiel de CO₂ séquestré à horizon 2030 sur le sol français (Source : Conseil national de l’industrie)

Nos solutions pour l’industrie de demain

Partenaire exemplaire en matière de sécurité, SPIE France s’appuie sur un maillage territorial fin et ses filiales SPIE Industrie, SPIE Building Solutions, SPIE Facilities et SPIE ICS pour concevoir, réaliser et effectuer la maintenance d’installations économes en énergie et décarboner l’industrie.

Le plan France Relance : pour la décarbonation et la transition industrielle

Lancé en septembre 2020, le plan France Relance permet d’accélérer les transformations écologique, industrielle et sociale du pays. Il propose des mesures concrètes à destination de tous : particuliers, entreprises et associations, collectivités ou administrations.
Un plan exceptionnel de 100 milliards d’euros a ainsi été déployé par le gouvernement français autour de trois volets : la transition écologique, la compétitivité et la cohésion.

Le volet « écologie et transition énergétique » du plan s’est vu allouer un budget de 30 milliards d’euros pour accélérer la transition énergétique, favoriser une croissance durable et faire de la France la première grande économie décarbonée européenne. Près de 9 milliards sont ainsi alloués à la décarbonation de l’industrie et de l’énergie, ainsi qu’à la recherche et au développement dans le domaine des technologies vertes. 7 milliards d’euros ont également été fléchés pour la rénovation énergétique des bâtiments.

Doté d’un budget total de 34 milliards d’euros, le volet « compétitivité » du plan vise à accroître la résilience économique et l’indépendance technologique avec nos partenaires européens, à développer l’activité et à créer de l’emploi de façon durable. Un milliard d’euros ont été injectés via des appels à projets pour permettre de soutenir des projets industriels ambitieux.

* Source : Rapport d’information déposé par la Commission des affaires européennes portant observations sur le projet de loi relatif à l’industrie verte